"Tout ce que l’on aime devient une fiction. La première des miennes fut
le Japon. A l’âge de cinq ans, quand on m’en arracha, je commençai à me
le raconter. Très vite, les lacunes de mon récit me gênèrent. Que
pouvais-je dire du pays que j’avais cru connaître et qui, au fil des
années, s’éloignait de mon corps et de ma tête ? ".
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