vendredi 10 janvier 2014

Béatrice EGEMAR : Le Printemps des enfants perdus

Artistes, femmes du monde, élégants de la capitale, tous prisent la parfumerie de Manou Dupré, rue Saint-Honoré. En 1750, l'usage est de se parfumer quotidiennement de la tête aux pieds et jusqu'aux accessoires. Une coquetterie venue droit de Versailles. Pourtant, en ce mois de mai, ce ne sont pas les senteurs mais une rumeur qui court les rues de Paris, une rumeur folle de trafic d'enfants. Lorsque deux jeunes garçons de son entourage, à leur tour, disparaissent, Manou, la jeune et belle parfumeuse, s'inquiète.

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