Dans ce huitième livre, Marie Sizun écrit avec une
tendresse poignante une enfance dans la guerre, marquée par le secret et
le non-dit, par la violence des choses qui ne devraient pas être, de
celles qui sont tues et soudain révélées, et qui résonnent aujourd'hui
encore dans le coeur de la narratrice. Elle dit la troublante vérité des
enfants solitaires, et renoue ainsi avec le monde du Père de la Petite
et de La Femme de l'Allemand.
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