" La Malnata - la mal née - était en bas sur la rive du Lambro avec deux
garçons que je ne connaissais que de nom. Ils avaient tous les deux des
pantalons courts et les genoux écorchés, et pour elle, cette fille qui
leur arrivait tout juste à l'épaule, ils auraient affronté la mitraille
comme les soldats qui s'en vont à la guerre, en disant ensuite au
Seigneur : Je suis mort heureux. " Phénomène littéraire, révélation
d'une voix unique, récit puissant où le passé fait écho au présent : La
Malnata marque l'entrée en littérature de Beatrice Salvioni, vingt-six
ans, dont le roman est publié simultanément dans plus de vingt-huit
pays.
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